Les nouveaux étoilés du Michelin français sont rarement des étoilées ()

Après quelques fuites plus ou moins organisées, le célèbre guide rouge a décerné ses trophées le 31 mars à Metz. Deux presque nouveaux trois étoiles, neuf nouveaux deux étoiles et 47 une étoile célèbrent les hommes et les Japonais. (Je vous ai mis les noms des Japonais en rouge et ceux des cheffes en  vert - souvent associées à un homme - pour que vous voyez par vous-même)

 

Commençons donc par les trois étoiles, à tout seigneur tout honneur. Les deux nouveaux sentent l'iode. D'un côté, Christopher Coutenceau, qui l'avait déjà obtenue en 2020 avant de la perdre en 2023, la retrouve déjà (en photo ci-dessus). Le chef de La Rochelle magnifie les produits de la mer avec un engagement écoresponsable certain. De l'autre, Hugo Roellinger (photo ci-dessous) porte le nom de son père Olivier, lui-même triplement étoilé à Cancale avant de devoir abandonner pour raison de santé. Au Coquillage de Saint-Méloir-des-Ondes où son père s'était retiré, le jeune homme de 37 ans, propose aussi une cuisine délicate basée sur les produits de la mer qu'on distingue depuis cet ancien bistro d'Ille-et-Villaine, à deux pas du Mont-Saint-Michel. Pour le reste, on savait déjà que le magnat de Vonnas, Georges Blanc, perdait sa troisième étoile.

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Du côté des deux-étoiles, on retrouve:

 

Si vous voulez vraiment la liste des nouveaux une étoile, la voici tirée de l'excellent site du Monde:

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