Testé pour vous: des whiskies Glentlivet pour dîner ()

glenlivet.jpgUne des particularités des single malt tient au fait qu’ils ne sont produits qu’avec l’eau d’une seule source. Pourtant les différences sous un même nom sont importantes, dues uniquement au vieillissement, suivant l’âge ou le type de barrique (américaine ou espagnole).

Pour s’en convaincre, The Glenlivet organise des soirées Whisky & dine lors desquelles il invite barmen et vendeurs à accorder plats et whiskies. Nous avons eu le privilège de participer au dernier, au Beau Rivage lausannois.

A l’apéro, le classique 12 ans dévoile des arômes floraux, fruités, avec des touches de vanille et de miel. Une sensation de légèreté. Avec une tarte fine au saumon mariné au whisky puis grillé, le 15 ans, qui finit son vieillissement en fût de chêne français pendant six mois, accordait ses senteurs d’agrumes au citron bergamote du plat, et y ajoutait de la noisette grillée avec un côté un peu plus fumé. Le filet d’agneau (d’Ecosse, évidemment) laqué aux sucs de bourgeons de sapin puis flambé au whisky s’accommodait d’un 18 ans floral, qui coulait comme une orange épicée en bouche, avec un caramélisé et un bois doux. Le Nàdura, uniquement en chêne américain et non filtré, 560 d’alcool, relevait – après l’ajout d’un peu d’eau – un moelleux chocolat et menthe de son côté vanille, gingembre et pêche blanche. Enfin, le café appelait un 21 ans opulent, au nez de raisins secs et d’épices de Noël, ou un Glenlivet XXV tourné vers le sherry, exotique, très épicé et plus sec.

www.theglenlivet.com.

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