«Je déteste être photographié!» Face à l’appareil de Florian Cella, Dominique Derisbourg est anxieux. Lui qui a immortalisé des milliers de modèles pour ses photos de mode n’aime pas se retrouver du mauvais côté de l’objectif. Car l’homme reste un anxieux. A 47 ans, après près de 700 couvertures pour Femina, des photos de mode pour Marie-Claire, Avantages et beaucoup d’autres magazines dans le monde, le Montreusien d’adoption pourrait se reposer sur ses lauriers, mais ce n’est pas le genre de ce feu follet, toujours en quête d’une nouvelle idée, d’une nouvelle technique.