Un lecteur assidu (si, si, ça existe, même au masculin) me signalait que cela faisait un moment que je ne vous avais pas proposé de dessert. C’est vraiment trop bête, non? Bien qu’on puisse gloser un moment sur la nécessité d’offrir ou non un dessert en fin de repas. Avec l’âge, j’en viens presque à faire comme les Japonais qui mangent leurs sucreries entre les repas (ouh, les vilains!) mais jamais à la fin desdits repas.
pomme
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Et, pour dessert, le gâteau aux pommes et au miel
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La Galmac, nouvelle pomme suisse précoce
La galmac est la dernière née de l’Agroscope de Changins-Wädenswil. Si le bébé se porte bien, c’est que la gestation a mis plus de vingt ans.
Josy Bessard et son frère Yvan cultivent plus de 50 hectares d’arbres fruitiers à Riddes (VS). Et ils ont été parmi les premiers à planter de la galmac, la nouvelle pomme précoce développée au Centre de recherche de Conthey de l’Agroscope de Changins-Wädenswil (AGW). «C’est une excellente pomme et c’est ce qui nous a convaincus», explique le producteur, qui en a déjà 1 hectare. «Surtout, cela nous permet d’arriver tôt sur le marché et de mieux lutter contre les fruits importés.» La galmac a effectivement des atouts à faire valoir: au goût, elle possède à la fois l’acidité de la jerseymac, sa maman, et la douceur de la gala, son papa. Bien croquante sous sa robe rouge et jaune, elle semble assez résistante aux maladies comme l’oïdium, un peu moins sur la tavelure.
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La Mairac a tout pour séduire les Suisses
«Ah!, chaque fois que je la regoûte, je ne m’en lasse pas.» François Thury, le patron des Fruits du Roi, à Etoy, a beau commercialiser près de 3000 tonnes de pommes par année, son visage s’éclaire tandis qu’il mange un quartier de sa Mairac. «Et chaque fois qu’on l’a fait déguster, c’est très rare que les gens n’aiment pas», poursuit-il.
La Mairac? C’est un croisement entre une gala et une maigold développé par le sélectionneur Charly Rapillard, de la Station fédérale de Conthey (VS). Lancée officiellement en 2002, cette variété est en fait une marque protégée, que seuls cinq producteurs peuvent cultiver en Suisse, et un seul en Suisse romande, François Thury, justement.
«Je l’avais goûtée une première fois en 1997, à Conthey, parmi plein d’autres variétés expérimentales. Déjà là, elle m’avait séduit», explique-t-il. Alors, quand il est contacté par la société qui protège et promeut la variété, Varicom, il y croit et plante immédiatement un hectare. Aujourd’hui, il en cultive une quinzaine.
Et quels sont les atouts de cette pomme de taille moyenne, au rouge flamboyant sur une base jaune? Elle a d’abord une acidité bien présente, qui lui donne sa typicité et qui augmente les possibilités de conservation. Si elle n’arrive sur les étals qu’au printemps, c’est que le producteur attend que cette acidité se fonde avec le temps. Face à cette acidité, elle a un taux de sucre très important, avec un taux de 14 à 18 brix contre un maximum de 12 à la gala, par exemple. Ce mélange acidité-sucre est remarquable.
Sa chair est ferme, et supporte très bien aussi la conservation. En la dégustant maintenant, on a l’impression qu’on vient de la cueillir tant elle reste croquante sous la dent. Pour convaincre les consommateurs, les producteurs organisent des séances de dégustation dans les centres commerciaux chaque printemps
Et puis, zeste de chauvinisme, elle est 100% suisse. «On pourrait même songer à l’exporter», s’enthousiasme François Thury.
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Une tarte aux pommes en sept minutes!
On a beau aimer bien manger, on n'est pas forcément obligé de passer des heures en cuisine pour y parvenir. Une recette simple, faite avec de bons ingrédients, bien équilibrée suffit à notre bonheur. J'ai par exemple découvert une tarte aux pommes particulière dont je n'arrive plus à me passer. Je ne remercierai jamais assez la bonne âme qui m'a glissé cette recette.
Commencez par prendre 450 g de pommes, de ces bonnes pommes à cuire (pas de la golden, par exemple, qui inonde nos rayons), que vous allez éplucher, couper chacune en seize morceaux, ce qui vous prend... deux minutes. Vous mélangez soigneusement au fouet 50 g de farine, 1 c. à c. de poudre à lever, 50 g de poudre d'amande, 100 g de sucre, 1 oeuf, 1 c. à c. d'extrait de vanille et 1/2 c. à c. d'extrait d'amandes amères (facultatif), ce qui vous occupe encore... trois minutes.
Vous mélangez les pommes et votre masse. Vous beurrez un moule à charnière (24 cm de diamètre), vous le recouvrez d'une fine couche de sucre et d'amandes effilées (1 minute). Vous y versez votre préparation et vous recouvrez la surface de sucre et d'amandes effilées (1 minute). Bref, tout ça vous a pris sept minutes, pas mal, non?
Ne reste plus qu'à glisser à four chaud (180 degrés) une quarantaine de minutes. Mais, pendant ce temps, vous pouvez faire autre chose. Quoi? Ca, c'est votre problème.
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