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valais - Page 3

  • Les nouvelles étoiles du Guide Michelin suisse 2010

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    091117_PKR_MI_PIC_Cover_MF_Schweiz_2010.jpgEt voici la nouvelle mouture du Guide Michelin Suisse. Un nouveau deux-étoiles, huit nouveaux une-étoile. La liste montre que la gastronomie suisse continue à fort bien se porter malgré la crise. Pour l'anecdote, le Schauenstein, à Fürstenau, d'Andreas Caminada, celui qui a été nommé deux fois chef de l'année par le GaultMillau, n'obtient pas la troisième étoile que le Michelin lui promettait. Et il reste "espoir" trois étoiles. La liste des nouveautés ci-dessous.

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  • En Valais, le vin a une très longue histoire

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    vin_valais.jpgSept ans de travail, 30 experts, 1,8 million de francs: le plus grand canton viticole de Suisse sait désormais tout de son produit phare à travers un livre passionnant. C’est un travail de longue haleine auquel s’est attelée Anne-Dominique Zufferey, directrice du Musée valaisan de la vigne et du vin. Avec ses d’experts – archéologues, historiens, agronomes, ethnologues, géographes –, pendant sept ans, elle a reconstitué l’histoire du vin en Valais, un domaine essentiel à la société et à l’économie de ce qui est aujourd’hui le premier canton viticole de Suisse.

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  • Didier de Courten sort un livre de recettes magnifique

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    DeCourten.jpg«Quand j’ai vu le livre imprimé, il était exactement comme je l’avais rêvé.» Les yeux bleu profond de Didier de Courten s’éclairent encore davantage. Dans son Hôtel Terminus, à Sierre, il régale un public toujours plus large. Avec 19 au GaultMillau et 2 étoiles au Michelin, le jeune chef est entré dans le cercle restreint des meilleures tables de Suisse. Mais il avait envie de transmettre sa cuisine, «forcément éphémère», à travers un recueil qui lui ressemble. Et, comme le garçon est un perfectionniste, il a passé deux ans et demi à le peaufiner. Le résultat? Magnifique, tout simplement, dans une épure de moyens qui met en valeur la beauté des plats du Sierrois, véritables architectures au service du goût.

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  • 40 recettes de chasse des chefs valaisans

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    chasse-recette.jpgEn Valais, la chasse est ancrée dans la société depuis des temps immémoriaux, et les histoires qui tournent autour font toujours le régal des tablées. Pas étonnant, dès lors, que la Fédération valaisanne des sociétés de chasse ait voulu célébrer son 75e anniversaire en invitant vingt-cinq chefs du canton à livrer leurs meilleures recettes. Le résultat sort cette semaine, un beau livre qui réunit une présentation un peu formelle des vingt-trois sociétés de chasse et une quarantaine de recettes automnales et distinguées.

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  • Magnifique humagne

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    ardevineHumagne.JPGMichel Boven est un homme souvent distingué. Ses vins ont une tendance naturelle à rafler les médailles dans les concours. Sept d’or au dernier Grand Prix des vins suisses, dont une troisième place pour l’assemblage Vent d’Or. Deux d’or et six d’argent aux Etoiles du Valais. Pas étonnant de la part d’un homme qui a été Vigneron de l’année en 2005.

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  • Choisir son resto sur iPhone

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    cdf_iphone.jpgUne version mobile de notre guide des restaurants romands est désormais disponible spécifiquement sur les téléphones d’Apple. Il y a bien sûr la version papier de notre guide Le Coup de fourchette. Mais, dès aujourd’hui, vous pouvez également l’emporter partout avec vous sur votre iPhone (et exclusivement sur celui-ci). C’est la première application suisse dédiée aux restaurants faite pour l’iPhone.

    Une fois l’application achetée et installée, vous ne pourrez plus rater le moindre de nos coups de cœur. Différentes recherches sont disponibles: par ville, par nom du restaurant, par nom du cuisinier. Mais également, vive l’iPhone, par le menu «Proche de moi» qui va utiliser votre position GPS pour chercher les restaurants les plus proches.

    Une fois votre table sélectionnée, plusieurs possibilités s’offrent à vous: placer celle-ci dans vos favoris que vous désirez retrouvez facilement; appeler directement pour réserver; voir son emplacement sur la carte ou calculer votre itinéraire pour y parvenir; visiter son site web s’il en possède un.

    Autre avantage: la base de données de ces restaurants est régulièrement mise à jour et les nouvelles adresses qui paraissent chaque vendredi dans cette page sont ajoutées.

    Application à télécharger sur l’AppStore d’Apple, 9 fr. 90. Toutes les infos sur www.24heures.ch./cdf.

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  • Rien n’empêchera jamais le «retraité» Roland Pierroz de travailler

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    pierrot.jpgIl a beau être «retraité» de son Rosalp de Verbier, le portable de Roland Pierroz ne cesse de sonner. Ici, c’est un Italien qui voudrait le voir représenter son huile d’olive. Là, un entrepreneur qui fait appel au consultant en restauration. Il faut dire que le «Padrino de Verbier» — comme certains l’appellent — possède autant de contacts privilégiés dans son carnet d’adresses que de talent culinaire. Pas étonnant que Philippe Rochat, président du Bocuse d’or helvétique, ait fait appel à lui pour organiser la finale européenne du concours de cuisine qui aura lieu à Genève en juin 2010.

    En négociant cette semaine le contrat d’organisation à Lyon, le Valaisan sait qu’il n’aura pas la tâche facile. «Il va falloir reprendre la voiture pour aller chercher plus d’un million de sponsoring. J’ai l’habitude. A l’époque où je présidais les Relais & Châteaux suisses et où j’étais vice-président des Grandes Tables, je devais trouver un demi-million chaque année…»

    Cet homme au physique de taureau (de la race d’Hérens, évidemment) a l’habitude des responsabilités. «C’est ce qui nous a intéressés chez lui, ses compétences internationales, son côté organisateur et rassembleur», explique son ami Philippe Rochat. «Et on aime bien son franc-parler et ses coups de gueule», poursuit le chef de Crissier. Pierroz a en effet un vrai caractère, trempé dans le granit de ses montagnes et la petite arvine de ce pays qu’il adore par-dessus tout. «Vous savez, installer un restaurant gastronomique en station, ce n’était pas facile, se souvient le Valaisan. J’ai dû me battre pour faire mon trou là-haut. Avec pas mal de gens contre moi.»

    Le combat a réussi: du petit tea-room ouvert par ses parents en 1946 dans un village inconnu, Roland Pierroz a fait une adresse reconnue par le GaultMillau, les Relais & Châteaux ou les Grandes Tables, une adresse où séjournaient la princesse Sarah Ferguson ou Marthe Keller, des habituées. Mieux, Roland Pierroz «était» Verbier, dont il présidait l’Office du tourisme, en nouant des contacts dans le monde entier. «Il a saisi vraiment toutes les opportunités qui lui étaient offertes pour mettre en valeur Verbier», reconnaissait Patrick Messeiller, directeur général de Verbier Tourisme, au Nouvelliste en décembre dernier.

    Seul le Guide Michelin l’a boudé. «Mon côté grande gueule, sans doute. Quand Michelin a annoncé qu’il allait sortir un guide suisse, je leur ai dit que j’espérais qu’il n’y aurait pas d’injustice comme les trois étoiles d’Haeberlin, à Illhaeusern, alors que Stucky, à Bâle, n’en avait que deux. Ils me l’ont fait payer. Mais je n’étais pas le seul cocu. Quand le guide a organisé une fête pour son lancement, nous, les cocus du Michelin, sommes allés faire des démonstrations de cuisine à la Foire de Colmar, juste pour les embêter.» Le Bibendum a une mémoire d’éléphant: jusqu’à sa fermeture, le Rosalp n’aura qu’une seule étoile! Surtout que le chef de Verbier en rajoutait, avec des déclarations du style: «Le Michelin, c’est l’Ancien Testament…»

    Roland Pierroz, qui connaît intimement tout le monde en Valais, de Pascal Couchepin à Léonard Gianadda, a vécu une autre déception, lorsqu’il n’a pas été réélu fin 2008 au Conseil général de Bagnes, «une histoire politique», selon ce PDC de souche. Du coup, il a démissionné de toutes ses fonctions avant d’acheter un bel attique à Martigny. Ce qui n’empêche pas sa femme, Mimi, de gérer les appartements qu’ils possèdent toujours dans la station et qu’ils louent à l’année.

    A 66 ans, d’autres seraient amers devant ce manque de reconnaissance. Pas lui. «Quand on a fait son temps, il faut partir. Mais j’aime toujours autant défendre des causes auxquelles je crois.» Il en a tant qu’il n’a que peu de temps pour ses loisirs. La chasse («je n’ai rien tiré depuis cinq ans»), le cheval («je voulais en acheter un, mais je me suis rendu compte que je n’avais pas le temps de m’en occuper») ou le golf. Reste la cuisine, évidemment: «Je dois finir d’installer le barbecue sur la terrasse et après, vous viendrez manger, hein?» Convivial, on l’a dit.

    En quelques dates:

    1942 Naît à Martigny. «Aujourd’hui, dans ma tête, j’ai bloqué le compteur à 59 ans.»

    1958 Apprentissage de cuisinier au Beau-Rivage de Lausanne.

    1968 Rencontre la Zurichoise Mimi. «Elle a toujours été plus que la moitié de moi-même.» Leur fille unique, Valérie, naît en 1972.

    1969 Reprend le Rosalp de ses parents, qu’il ne cessera d’agrandir et de rénover.

    1980 Clé d’or de GaultMillau, entrée aux Relais & Châteaux.

    1992 Reçoit 19/20 au GaultMillau.

    2007 Vend le Rosalp à un groupe d’investisseurs représentés par l’ancien footballeur Ramon Vega.

    2009 Devient directeur exécutif du Bocuse d’or européen 2010.

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  • Le Domaine de Mythopia, à Arbaz, étonnant!

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    mythopia_51.JPGSur les hauteurs de Sion, à Arbaz, poussent des vignes étonnantes. Vignes, prairies, arbres fruitiers, buissons se mélangent. Car Hans-Peter Schmid veut cultiver en biodiversité. «Les vignobles sont un problème parce qu’ils créent une monoculture qui détruit les plantes, les insectes, les oiseaux et les micro-organismes qui vivent dans le sol.» A Mythopia (le nom de son domaine), les abeilles butinent des vignes aux fruits sans abîmer les grappes.

    Evidemment, ici, aucun produit chimique n’est autorisé. Les fongicides sont biologiques, le soufre est exclu. En cave, le produit de chaque parcelle est vinifié séparément afin de suivre le succès des mesures agricoles. «Nous ne faisons pas tout ça simplement par goût de la nature, expliquait Schmid à SwissInfo, mais aussi parce que cela donne de bons vins.»

    De cette petite production expérimentale, nous avons essayé le Schiller, dont la couleur pourrait faire croire à un rosé. Mais pas du tout, c’est une composition de chasselas et de pinot noir, mélangés avant d’être vinifiés comme un vin rouge. Le résultat, à boire très frais, est désaltérant, mais plutôt aqueux. Nez léger de fruits rouges, petite âcreté et acidité maîtrisée.

    Schiller - Terre d’Anouna, Domaine de Mythopia, 1974 Arbaz. www.mythopia.ch. 50 cl. 14 fr. 50.

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  • Des grands chefs à petits prix

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    FleurdeSel.jpg
    Manger du Denis Martin pas cher à Champéry? Un menu Carlo Crisci à 55 francs? Une gratinée de crabe sauce homardière d’Edgar Bovier à 34 fr.? Un steak tartare de Martial Braendle à 30 fr. 90? Pas cher pour des chefs étiquetés 16, 17 ou 18 au GaultMillau. C’est le miracle des annexes ou secondes tables.

    Dans son fief de Cossonay, la Fleur de Sel de Carlo Crisci jouxte son gastro. «Mon annexe, c’est ultra-important, explique-t-il. C’est le contact avec la réalité, cela permet le tournus des produits, de montrer aux apprentis comment cuisiner des produits moins nobles et de donner l’accès à ma cuisine à des jeunes qui ont envie de venir chez moi.» Le chef y utilise aussi les «chutes» de produits nobles, comme un tartare de féra avec les parures du poisson servi au restaurant, ou un tartare de bœuf avec les pointes des filets d’à-côté. «Qui pourrait offrir un tartare de filet de bœuf à ce prix dans un restaurant autonome?» Et le surcoût en personnel est minime, deux employés. Il admet que cela met du beurre dans les épinards, en réalisant environ un cinquième de son chiffre d’affaires à la brasserie.

    Au Palace, à Lausanne, Edgar Bovier gère une gamme de quatre restaurants, du gastro de sa Table d’Edgar jusqu’à la Brasserie. «C’est la plus belle chose qui puisse arriver à un chef. C’est comme les couturiers qui font des collections, mais qui créent à côté des jeans ou du prêt-à-porter. A la Brasserie, par exemple, on peut se laisser aller un peu plus, proposer des plats de terroir sans la barrière du gastro qui impose certains produits. Et pour le client, c’est génial: il peut choisir selon son envie et son budget du moment. L’important, c’est de garder un style.»

    Un atout et un risque

    Synergie de personnel, synergie d’achats, les économies sont nombreuses pour pouvoir offrir de la belle qualité à prix d’ami. Mais attention, il faut que la qualité suive. «Le client qui serait déçu à la Pinte, explique Christophe Rod, chef de la Roseraie, à Yvorne, ne viendra pas au gastro.» Mais s’il est content, c’est aussi une manière de pousser le timide à passer la porte du restaurant voisin. «Certains n’osent pas venir dans un restaurant haut de gamme, raconte Martial Braendle, de l’Auberge de Vouvry. En venant dans notre Brasserie, ils apprennent à nous connaître et à voir qu’on est sympas et sans chichi. Souvent, ils réservent au gastro en partant…»

    Christophe Rod partage ce sentiment: «La maison fait un peu peur. Les gens qui viennent à la Pinte jettent un coup d’œil à côté ou demandent à voir la carte.» A Vevey, Denis Martin avait tenté l’expérience: «Ma deuxième table à Vevey, où je servais des tapas, était comme une concurrence. J’ai arrêté. En ouvrant bientôt une annexe à Champéry, la distance annulera cette rivalité. Et je suis content d’avoir ce laboratoire à idées.» Alors, compétition interne ou émulation? A Bogis-Bossey, Olivier Martin utilise son Café à midi pour des plats du jour, et comme salle fumeurs du gastro le soir. «Honnêtement, je ne gagne pas d’argent avec mes plats du jour à 19 fr., mais je gagne de la clientèle. C’est une porte d’entrée pour le restaurant.»

    Parmi les chefs interrogés, la seconde table amène entre 20 et 45% du chiffre d’affaires de leur établissement. Même s’ils affirment tous ne pas subir la crise pour l’instant, c’est aussi une diversification intéressante «à la période qu’on vit», comme dit Carlo Crisci.

    Et c’est aussi une façon de sortir du carcan, histoire de s’amuser un peu. «Une petite échappatoire» pour Christophe Rod, un «conservatoire des plats à succès» pour Olivier Martin, «un plaisir de faire des plats plus trendy» pour Edgar Bovier… et une bonne affaire pour les gourmands.

    Petite sélection de secondes tables

    Palette de tables: Edgar Bovier, du Lausanne-Palace, dirige aussi le Côté Jardin, <br></br>la Brasserie et le Château d’Ouchy.
    A  Satigny (GE), Philippe Chevrier supervise aussi le Café de Peney, le Relais de Chambésy  et le Vallon, à Conches.
    En s’appuyant sur des seconds sur place.

    Annexes chics: A Cossonay, Carlo Crisci propose sa Fleur de Sel.
    A Ouchy, David Sauvignet décline son talent au Café Beau-Rivage.
    A Yvorne, Christophe Rod s’amuse à la Pinte de la Roseraie.
    A Vouvry, Martial Braendle se fait terroir à la brasserie de son Auberge.
    A Sierre, Didier de Courten s’encanaille dans sa brasserie du Terminus.
    A Saint-Légier, Jean-Sébastien Ribette simplie au Café de son Auberge de la Veveyse.
    Une première table entre 15 et 19 GaultMillau et une seconde table qui en profite.

    Cafés sympas: A Bogis-Bossey, Olivier Martin propose son menu du jour à 19 fr.
    A Echallens, l’Ambroisie fait simple au Challensois.
    A Granges (Veveyse), Eric Madenspacher se fait plaisir à la Brasserie de sa Croix-Blanche.
    A Yverdon-les Bains, Philippe Guignard et Eric Hamart jouent canaille aux Quatre- Saisons de la Prairie.
    Des ambiances terroir ou plats du jour.

    Article paru dans 24 heures du samedi 8 novembre 2008.

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  • L'Amigne fait sa fête

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    1801332177.jpgLes encaveurs de Vétroz font la fête à l'Amigne vendredi 6 juin, dès 17 h, et samedi 7 juin, de 10 h 30 à 20 h. Il y aura bien sûr dégustations des vins locaux et de ceux d'une région espagnole qui ne cesse de monter, le Priorat (arrière-pays de Barcelone). Il y aura un Espace gourmand, autour des accords mets et Amigne par les Jeunes Restaurateurs d'Europe valaisans (Coq en Pâte Théler - Mont-Rouge Lathion - La Sitterie Bovier). ll y aura aussi, forcément, un stand raclette.

    Les encaveurs suivants seront présents : Cave des Tilleuls – Fabienne Cottagnoud / Cave du Vieux Moulin – Romain Papilloud / Cave Jean-René Germanier – Jean-René Germanier & Gilles Besse / Cave Les Ruinettes – Serge Roh / Cave Labuthe – Philippe Buthet / Réserve des Amis – Régine Penon / Cave Dietmar Förster / Cave Montparnasse – Paul Evéquoz / Cave Chantevigne – Raphaël Vergère / Cave la Madeleine – André Fontannaz / Cave La Régence Balavaud – Pierre Clavien / Cave Les Fils d’Hubert Germanier / Cave des Deux-Rives – Claude Fournier & Fils / Domaine Thierry Constantin / Les Celliers de Vétroz – Famille Fontannaz /  Cave La Tine - Hervé Fontannaz / Clos Balavaud – Les Fils Maye.

    Bon, il y a un prix d'entrée de 20 fr., mais le verre est offert...

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