Je ne sais pas pourquoi, mais j’avais des envies japonisantes quand j’ai feuilleté le dernier exemplaire de ce joli magazine de cuisine qu’est Zeste. Ce numéro 18 met le cap sur l’Asie et décline, entre autres, de jolis bouillons épicés, tout simples et goûteux. Et j’ai aimé ces nouilles japonaises udon dans leur bouillon
aux crevettes. Vite fait, et en plus fit et fun…
japon
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Il est bon, mon udon!
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A Lausanne, Mi Sushi ne fait rien à moitié
Bien sûr, les boutiques à sushis fleurissent en ville comme les cerisiers dans les jardins japonais. Mais leur qualité peut varier énormément.
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A Chexbres, l’Umé jette un pont entre trois cultures, avec succès
L’homme qui avait fait découvrir la cuisine japonaise à Chexbres, Yoshi Iizuka, a remis son restaurant dans la petite rue du Cotterd, au centre du village.
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A Pully,le Bambou sait être souple et se dédoubler
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Quand Magrez se fait Nippon
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Deux petits yakitoris faciles
Si les Espagnols ont leurs tapas, les Japonais ont leurs yakitori. Dans ces restaurants, on déguste avec les doigts des mets à cuisson rapide, souvent caramélisés. Si, au départ, yakitori voulait dire «oiseau grillé», les Nippons ont élargi la gamme des produits à passer sur la braise, sur des brochettes, histoire de pouvoir les grignoter debout au comptoir en buvant un saké ou une bière. J’ai appris tout ça en lisant un petit livre de la collection Toquades (Ed. First), Yakitori entre amis, de Marie Chevalier. J’ai aussi appris qu’il fallait faire tremper les piques en bois dans l’eau au moins une heure pour éviter qu’elles brûlent sur le barbecue. A défaut de braise, essayez la plancha ou le gril. Voici des boulettes de veau, gingembre et citronnelle en entrée, et des ananas aux épices pour le dessert.
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Les adresses du chef: Xavier Noverraz, du Ko-An, à Lutry
Il y a vingt et un ans, Xavier Noverraz ouvrait le premier japonais de la région, à Lutry. S’il a depuis déménagé son Ko-An au 1er étage du bâtiment de La Lagune, sa philosophie n’a pas changé: proposer une cuisine authentique, la plus proche possible des standards nippons. C’est pour cela qu’il a toujours eu des chefs venus du Japon, comme le dernier, Toshio Kojima, arrivé il y a quatre ans et demi sans parler un mot de français. Dans la salle lumineuse qui ouvre sur le port, les traditions sont donc respectées.
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Deux recettes pour changer des sushis…
Poulet teriyaki
Ingrédients pour quatre: 4 blancs de poulet avec la peau, 1 cs d’huile de tournesol, 125 ml de saké, 125 ml de mirin, 125 ml de sauce soja, 1 cs de sucre en poudre, des pois mange-tout fraîchement cuits pour servir.
Séchez le poulet avec du papier absorbant et piquez la peau par endroits avec une brochette (la graisse va sortir et la peau deviendra croustillante en cuisant).
Versez l’huile dans une poêle. Quand elle est chaude, faites cuire le poulet côté peau à feu moyen 15 à 20 minutes, jusqu’à ce qu’il soit croustillant et doré. Retournez-le, couvrez et poursuivez la cuisson encore 10 minutes. Sortez-le de la poêle et réservez-le.
Déglacez la poêle avec le saké, le mirin et la sauce soja, ajoutez le sucre et remuez pour le faire dissoudre, puis laissez bouillir 5 minutes. La sauce doit épaissir.
Remettez le poulet dans la poêle et réchauffez-le 5 minutes en le retournant souvent pour le laquer de sauce de tous les côtés. Détaillez les blancs en tranches et disposez-les sur des assiettes de service avec les pois mange-tout. Servez sans attendre.
Tiré de Sushi, sashimi, yakitori et 60 basiques japonais, Marabout.
Haricots verts en sauce miso au sésame
Ingrédients pour quatre à six: 250 g de haricots verts lavés et coupés en morceaux de 5 cm de long, 50 g de graines de sésame, 1 cc de sucre, 2 cs de pâte miso blanche ou rouge, 2 cs de mirin.
Préparez les haricots: dans une casserole, portez à ébullition deux ou trois fois leur volume d’eau légèrement salée. Plongez-y les haricots et laissez cuire 2 minutes à gros bouillons. Retirez-les avec une écumoire et plongez-les aussitôt dans de l’eau glacée. Egouttez-les dès qu’ils sont froids.
Préparez la sauce: dans une poêle chauffée à feu moyen, faites griller à sec les graines de sésame pendant 5 minutes environ en remuant, jusqu’à ce qu’elles soient légèrement dorées et exhalent une odeur aromatique. Versez-les aussitôt dans un mortier, réservez une cuillerée à café pour la garniture, et broyez le reste au pilon. Incorporez peu à peu le sucre, le miso et le mirin jusqu’à obtention d’une pâte assez épaisse.
Mettez les haricots dans un saladier, ajoutez la sauce et mélangez bien. Servez dans des bols en parsemant de graines de sésame réservées à cet effet.
Tiré de Japan Bar, Larousse
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Soupe au miso, tempura, yakitori, la base de la cuisine japonaise
La cuisine japonaise qui s'est exportée en Occident est luxueuse. Sushi, tempura, yakitori, sashimi sont quelques couleurs d'une palette qu'on déguste d'abord du regard. En véritable artiste, le chef s'occupe autant de l'aspect que du goût, avec ce sens épuré du design propre au Soleil levant.
Pourtant, le Japonais moyen ne déguste pas que ces mets précieux. Son menu de tous les jours comprend, presque forcément, la simple soupe au miso, le miso étant cette pâte de soja fermentée que l'on trouve aujourd'hui dans presque tous les magasins asiatiques. La recette est à la portée de n'importe qui: dans une casserole, mettre un litre et demi d'eau, un cube de bouillon, une ou deux cuillerées à soupe de miso, une carotte coupées en très fines rondelles, 100 grammes de chou chinois coupé en lanières, des crevettes décortiquées, des mini-épis de maïs, une ciboule coupée en rondelles, 300 grammes de nouilles chinoises (cette liste est purement indicative). Vous faites cuire jusqu'à ce que les carottes soient cuites.... Quelques minutes avant la fin, ajoutez des pousses de soja. Même moi, j'y arriverais, c'est vous dire...
Si vous voulez pousser plus avant sans vous compliquer la vie, tentez les tempuras. vous préparez une pâte composée d'un oeuf, de 75 grammes de farine, de 25 grammes de Maïzena et d'un décilitre d'eau. Vous y trempez queues de crevette, morceaux de poisson, légumes, etc. et vous faites frire à l'huile. Servez avec du gingembre macéré et de la sauce soja.
Ou essayez les yakitoris, ces brochettes de poulet, canard ou autre que vous trempez dans une sauce aigre-douce composée d'un décilitre de vin de riz doux, d'une décilitre de sauce soja, de trois cuillerées à soupe de sucre et trois de farine. Vous faites griller les brochettes quelques minutes sur la braise en arrosant régulièrement de cette même sauce.
Mais attention au service. Si vous possédez de belles assiettes carrées noir mat, c'est le moment de les utiliser. Enfin, reste à espérer que tout le monde aime le thé vert. (Perso, je déteste...)
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