J’avoue mon petit plaisir régressif à cuisiner de la patate douce. On commence à trouver ce tubercule originaire d’Amérique du Sud chez quelques producteurs et son petit goût sucré me charme. Par exemple, en soupe vite faite qui peut remplacer celle à la courge sur l’onctuosité et la gourmandise. Là, on part sur un gâteau moelleux riche en beurre et en noisettes, qu’on se le dise.
gâteau
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Elles sont douces, mes patates en gâteau moelleux
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Ma recette pour un mariage meringué de rhubarbe
C’est le printemps et dans le coin de mon potager, la rhubarbe a pointé le bout de son nez. Encore un de ces rendez-vous qui mettent en joie, comme on retrouverait une vieille copine. Et un rendez-vous qui fait parfois sourciller le palais quand la divine tige se montre trop acide. Là, j’ai volé une recette de tarte meringuée à «Cuisine actuelle» et je n’ai aucun remords.
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Des brownies qui tirent sur le fruit
J’adôôôôre les brownies, ces petits gâteaux moelleux qui nous viennent d’Amérique du Nord, avec leur chocolat et leur léger excédent de calories. En plein hiver, c’est une bonne idée d’y ajouter des fruits secs, comme le fait Emilie Perrin dans son livre Brownies, cookies et brookies (Ed. Hachette) qui propose de belles déclinaisons de ces recettes.
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Les intolérants ont droit aux douceurs
Caroline Najar lance une boulangerie spécialisée en pains et pâtisseries sans lactose ni gluten. Et c’est bon!
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Quand Fat Bear vous met une châtaigne
Quoi? Vous ne vous êtes pas encore précipité pour acheter le très joli livre de cuisine de Catherine Fattebert (alias Fat Bear) illustré par Denis Kormann, Cuisine avec vue (Ed. Helvetiq)? Nous vous parlions il y a quinze jours de ces 60 recettes toutes faciles, d’ici, qui font tout leur effet. Comme cette tuerie de gâteau chocolat-châtaigne.
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Recette: un palet pour mon palais
Attention: le livre dont je vais vous parler n’est pas à mettre entre les mains des gourmands. Frédéric Bau y relate L’Essentiel du chocolat (Ed. Flammarion), tel qu’il l’enseigne à l’Ecole du grand chocolat Valrhona. Un recueil de douceurs parfaitement réalisées pour la photo dans une finition impeccable que nous autres amateurs aurons de la peine à reproduire. Mais essayez quand même ces palets chocolat et Carambar!
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Betty, maman gâteau
Betty Bossi reste une valeur sûre quand il s’agit de classique. Cette fois, la cuisinière affiliée à la Coop décline ses gâteaux dans son dernier livre, avec parfois un ou deux ingrédients industriels dont on peut se passer (Le Gâteau, 320 p., 36 fr. 90). Histoire de faire estival, j’ai sélectionné pour vous ce cake aux baies imbibé.
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Recette pour un brownie espresso
J’ai une voisine américaine qui m’en veut encore d’avoir livré au public – oui, à vous, cher public! – la recette de brownie qui faisait d’elle la vedette des soirées anglophones et qu’elle m’avait donnée inconsidérément. Alors, cette recette des brownies au café que je vais vous proposer appartient au domaine public, j’en suis sûr, puisqu’elle a été publiée dans un livre très conseillable, New York Cookies (Ed. Larousse), qui propose cookies, brownies, whoopies ou cupcakes originaux.
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Les florentins qu’on fait à la maison
C’est un très joli livre que vient de sortir Larousse. Ça s’appelle Mes petites recettes maison, et ça explique comment faire soi-même confitures, pickles, granités, pain, saumon fumé ou saucisses. Surtout que, parmi les 132 recettes, il y a un de mes biscuits favoris: le florentin.
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Pour fêter Obama, un gâteau à la noix
Il s’est passé quelque chose aux Etats-Unis cette semaine, non? Alors, j’ai choisi le petit volume De New York à Mexico, dans le petit coffret des Cuisines du monde de Larousse qui vient de sortir, et j’ai salivé sur cette recette 100% pur sucre comme savent si bien les faire les Américains. Voici donc le Pecan Pie.
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De la crème, et plutôt cinq fois qu’une
Le Nidelkuchen de Morat entre au Patrimoine culinaire suisse. Une pâtisserie qui demande beaucoup de patience à son boulanger.
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Il est moelleux, mon chocolat
Il y a comme ça des trucs qui se refusent à vous. Vous avez beau essayer, essayer et essayer encore, c’est raté ou, au mieux, ce n’est pas mal, mais pas très bien non plus. Parmi ces «graals» de ma cuisine à moi, figurait le moelleux au chocolat, vous savez, ce petit gâteau dont le cœur est fondant au moment de la dégustation. Chez moi, soit ça restait liquide, soit c’était ferme comme un bête… gâteau au chocolat. Mais fondant, non, que nenni, point! Jusqu’à ce que ma copine Françoise, gloire à elle, nous en fasse la démonstration, puis nous offre une photocopie de sa recette, découpée dans un magazine féminin et corrigée par ses soins. Là voilà, donc, avec le petit secret: ajoutez un carré de chocolat avant de cuire.
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La tatin aux poires de Philippe Bondiaux
C'est une recette prise sur la dernière newsletter de l'Auberge de l'Onde, dont je vous narrais l'autre jour la dernière soirée vigneronne. Il faut dire qu'à Saint-Saphorin, ils ont la chance de bénéficier d'un pâtissier excellent, Philippe Blondiaux, qui fêtait l'autre jour ses 40ans. De plus, le bonhomme a un blog (cliquez ici), sur lequel il donne ses meilleures recettes, quand il ne partage pas sa passion de la musique électronique et son goût du mixage...
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A la 1re place de mes recettes de gâteau au chocolat
Je ne sais pas si vous pensez la même chose que moi, mais je trouve que ça sent les vacances. Vos collègues ont déserté, il flotte un de ces petits airs de fainéantise dans l'atmosphère et les conversations n'ont qu'un dénominateur commun: "Tu pars quand? tu pars où?"
Alors, avant de partir, je vous propose de fêter ça par un gâteau au chocolat à déguster, par exemple, après quelques grillades: le gâteau au chocolat de Marie-Claude Garcia, qui tenait le restaurant de la Belle Gasconne, à Poudenas. C'est tout simple, on ne va pas s'embêter en été, hein?
Cassez 320 g de bon chocolat noir dans une terrine posée au bain-marie et mélangez avec 160 g de beurre et 160 g de sucre en poudre. Laissez fondre doucement. Retirez ensuite du feu et continuez à mélanger pour obtenir un mélange bien homogène. Incorporez alors, un par un, 5 jaunes d'oeuf, puis 40 g de farine. A côté, montez 5 blancs d'oeuf en neige, puis intégrez-les délicatement à votre préparation.
Versez-la dans une moule à manqué beurré (26 cm de diamètre) et faites cuire 40 à 45 minutes à 150 degrés dans un four préchauffé. Surveillez la cuisson. Elle doit cesser quand le gâteau est encore moelleux sous le doigt. Laissez-le refroidir avant de démouler.
La Belle Gasconne le servait accompagné d'une crème anglaise parfumée à la fleur d'oranger, mais, pour l'été, c'est presque un peu lourd, non?
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Choux, éclairs, profiteroles et autres chouquettes
Pourquoi croyez-vous que le mot "chou" soit synonyme de tendresse, pourquoi le sussurez-vous à l'oreille de l'être aimé? Vous trouvez vraiment qu'il ressemble à un légume rond, vert et croquant? Non, le chou tendre, c'est la petite pâtisserie moelleuse qui peut s'appeler un éclair s'il est allongé, une profiterole si elle est fourrée, une chouquette quand elle est au sucre, bref un chou à tout faire qu'on peut même déguster salé, si, si.
La base? Une pâte relativement simple à faire: vous versez dans une casserole 2,5 dl d'eau et 60 g de beurre, 1 c. à s. de sucre (à éviter pour les choux salés...), 1/2 c. à c. de sel et vous faites bouillir. Une fois le beurre fondu, versez 150 g de farine tamisée et remuez énergiquement (allez, du nerf!) jusqu'à ce qu'une boule se forme et se détache de la casserole. Vous retirez du feu et vous incorporez, un à un, 4 oeufs pour que la pâte soit ferme et souple. Sinon, rajoutez 1/2 oeuf...
Ne reste qu'à beurrer une plaque et à y poser vos portions de pâte grâce à votre poche à douille (allongées pour un éclair, en boule pour une profiterole, etc.). Faites cuire 15 à 20 minutes au four (210 degrés) sans ouvrir la porte ni les sortir: ils se dégonfleraient, ce qui, avouez-le, serait dommage.
Ensuite, place au farcissage. Les éclairs, vous les fourrez de crème pâtissière et vous faites un glaçage au choclat, par exemple (75 g de sucre glace, 25 g de cacao, auxquels vous ajoutez, cuillère par cuillère, de l'eau jusqu'à obtention d'un mélange facile à étaler).
Mais essayez aussi les choux salés. Par exemple, en fourrant vos choux avec de la mousse de foie gras ou en les garnissant de petits morceaux de saumon fumé ou d'un chouïa de fromage frais et d'aneth. Bref, variez vos envies à l'infini.
Si, après un repas comme ça, l'homme ou la femme de votre vie nous vous appelle pas "mon chou adoré", c'est désespéré...
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Un pie aux poireaux, so british
Par moments, spécialement au printemps d'ailleurs, des envies de simplicité nous prennent. Fi des grandes complications, nous avons juste besoin de l'essentiel, d'une sorte d'accomplissement zen qui nous conduit à nous satisfaire d'un rien. Enfin, je dis "nous" et je ne me fonde que sur mon expérience personnelle. Bref, au printemps, parfois, j'ai envie de simplicité. Et alors, que demander de plus qu'un pie aux poireaux, vous savez, ces gâteaux bizarres des Anglo-Saxons, avec la pâte par dessus.
Prenez 175 g de farine complète (eh! oui, en plus c'est sain) que vous mélangerez dans une jatte avec une pincée de sel et 75 g de margarine (c'est toujours sain...). Incorporez ensuite 75 g de cheddar râpé fin, mouillez avec 2 c. à s. d'eau et mélangez jusqu'à obtention d'une pâte ferme. Laissez au frigo.
Pour la garniture, faites revenir 100 g de lard dans une casserole, ajoutez ensuite 750 g de poireaux coupés en tronçons de 1 cm et faites revenir 5 minutes en remuant constamment. Ils doivent être tendres, mais ne pas brunir. Versez alors 25 g de farine en pluie et laissez cuire deux minutes. Mouillez peu à peu avec 3 dl de bouillon avant de porter à ébullition, puis baissez le feu et laissez mijoter jusqu'à ce que vous obteniez une sauce épaisse et lisse.
Ajoutez le zeste et le jus d'un demi-citron, 1 pincée de noix de muscade râpée, 50 g de noisettes décortiquées et concassées, du sel et du poivre. Faites encore mijoter deux minutes, puis versez dans le moule à pie.
Etendez votre pâte pour faire un cercle de 2,5 cm plus large que votre moule. Coupez-en une lanière de 1 cm sur le bord que vous collerez contre le bord du moule. Humectez cette bande, puis recouvrez votre gâteau du reste de la pâte et collez-la sur la lanière. Décorez en dessinant au couteau, puis glacez à l'oeuf battu. Faites cuire à four chaud (200 degrés).
Franchement, en dégustant ça, le monde vous paraîtra si simple. Et ça, c'est une belle qualité.
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