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Desserts - Page 7

  • La tatin aux poires de Philippe Bondiaux

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    blondiaux.jpgC'est une recette prise sur la dernière newsletter de l'Auberge de l'Onde, dont je vous narrais l'autre jour la dernière soirée vigneronne. Il faut dire qu'à Saint-Saphorin, ils ont la chance de bénéficier d'un pâtissier excellent, Philippe Blondiaux, qui fêtait l'autre jour ses 40ans. De plus, le bonhomme a un blog (cliquez ici), sur lequel il donne ses meilleures recettes, quand il ne partage pas sa passion de la musique électronique et son goût du mixage...

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  • Un pancake au fromage blanc pour changer

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    pancake_fromage_blanc.jpgNous faisions dans l’anglais la semaine dernière, avec des fish’n’chips revus et corrigés. Là, direction l’Amérique du Nord, pour un autre classique revisité, le pancake. Mais si, vous savez, ces petites crêpes qu’on dévore au petit-déjeuner, souvent nappées de sirop d’érable. Là, j’ai découvert une variante dans un petit recueil au titre amusant et très très long: Petits plats gourmands pour mamans au bord de la crise de nerfs (Ed. Tana). Le but est de varier les goûts des enfants. Ici, ces dames font des pancakes avec du fromage blanc. La recette prévoit du sucre vanillé, histoire d’accompagner des compotes. Mais vous pouvez la saler aussi pour varier les plaisirs. Comme je dis toujours: le plaisir vient de l’imagination.

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  • Ma panna cotta, créme des desserts

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    pannacotta.jpgJe vous connais, je sais que vous cherchez toujours la petite recette vite faite et qui en jette (pas terrible, la rime…). Alors, pour vous contenter, je suis allé fouiller le carnet de recettes à couverture noire où sont consignés nos classiques, le genre indémodable qu’on ressort des années plus tard. Et j’ai décidé de vous la faire transalpine, avec un dessert tout bête, à en rester comme deux ronds de flan… Ben, c’est une sorte de flan que cette panna cotta. Une fois votre crème gélifiée, vous pouvez la napper de fruits rouges, de coulis, d’une julienne de kiwis ou de ce qui vous passe par la tête, tant que c’est coloré, sucré et légèrement acidulé.

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  • Mes muffins à la banane comme ils ont été plébiscités

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    muffin_banane_coco.jpgIl y a des fois où je suis un peu monomaniaque. Tenez, l’autre jour, à Vevey, j’ai craqué pour un moule à muffin en silicone, si, si, vous savez, ces moules tout mous et dans lesquels rien ne colle. Ah, vous ne savez pas ce que c’est qu’un muffin non plus? Il faut tout vous expliquer? C’est en quelque sorte la madeleine des Anglo-Saxons, inventée semble-t-il au Pays de Galles avant d’être exportée aux Etats-Unis. On peut y mettre plein de choses, des pépites de chocolat, des fruits, enfin, ce qui nous passe sous la main. J’ai donc épuisé ma petite famille de plein de muffins, testant tout ce qui me passait dans la tête. Mais à vous, cher lecteur, je confierai uniquement mon best-seller du moment, le muffin à la banane.

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  • Les prunea ux n’ont pas l’accent alémanique

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    Pruneaux_0980.jpgPour les Suisses romands protestants, le pruneau évoque forcément le Jeûne, puisque c’est historiquement son apogée (voir ci-dessous). «Bien sûr, on ressent encore un pic des ventes au moment du Jeûne, mais cela a diminué. Les jeunes générations oublient un peu la tradition», explique Patrick Muller, qui en produit 80 tonnes à Cheseaux-Noréaz, dans le Nord vaudois. Le président de la section fruits à noyau de l’Union fruitière lémanique cultive 25 hectares de fruits, depuis les cerises jusqu’aux poires, en passant par les pommes ou les framboises.

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  • Mon clafoutis aux mirabelles, belles, belles

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    mirabelle1.jpgIl y a comme ça des fruits que l’on chérit plus que d’autres. Parfois parce qu’ils sont rares. Ou qu’ils nous rappellent des souvenirs enfouis. Ou parce qu’on est en pâmoison devant leur goût. Parmi mes passions figure la mirabelle, cette petite prune qui sait se faire désirer. Alors, forcément, mon petit jardin abrite un mirabellier que je couve du regard comme un amant jaloux. Rien ne remplacera jamais le plaisir du fruit juste cueilli à l’arbre, encore gorgé de sucre et de soleil. Et ce plaisir se décline: tarte aux mirabelles, confiture de mirabelles pour en garder trace jusqu’à l’an prochain, etc. Juste là, parce que c’est vous, je vous livre la recette du clafoutis aux mirabelles. Il n’y pas de raison que la cerise fasse toujours sa fière…

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  • La tarte aux pommes express

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    pommes_tarte.jpgC’est dans les vieilles marmites qu’on fait les meilleures soupes. Je repensais à ce proverbe, l’autre jour, en voyant les premières pommes arriver. Non, je ne pensais pas faire une soupe aux pommes, petits rigolos. Mais ces pommes m’ont fait repenser à une recette que m’avait donnée ma maman, celle d’une tarte aux pommes… sans pâte. Et, comme ma maman était une cuisinière efficace et rapide, vous comprendrez que sa recette ne demande pas trop de préparation…

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  • Marier vin et chocolat est tendance mais…

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    vin_choco_39.JPGDepuis mai, le Caveau de Romainmôtier et ses neuf vignerons des Côtes-de-l’Orbe proposent une dégustation mariant leurs vins aux carrés de chocolat de Passionnément chocolat, à Yverdon-les-Bains. Selon les formules, chacun choisit entre quatre et vingt saveurs cacaotées, puis tente de les marier aux crus du vigneron présent ce jour-là. «Il fallait se démarquer des autres caveaux», explique Alexandre Truffer, le responsable de Roman du Vin qui a proposé le concept aux vignerons. «Aujourd’hui, ces dégustations représentent 20% du chiffre d’affaires et attirent une nouvelle clientèle.»

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  • La croustade aux pommes du Sud-Ouest

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    203.jpgDans le sud-ouest de la France, les cuisinières cuisaient leurs gâteaux dans des tourtières, dans la cheminée, avec le feu dessous ET dessus. Elles ont ainsi pris l'habitude d'enfermer leurs tartes et de les transformer en croustades. Ne nous leurrons pas: dans le Quercy ou dans le Périgord, ils ont aujourd'hui des vrais fours mais cela ne les empêche pas de continuer la tradition de la croustade.

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  • Une simple salade de nectarines au gingembre et citron vert

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    salade_de_brugnon.jpgEn se promenant dans les marchés et dans les vergers, on se rend compte qu’on vit une espèce de saison au paradis, où les fruits viennent tous du jardin d’Eden, gorgés de sucre et de goût. L’autre jour, j’ai découvert des brugnons, que certains appellent des nectarines, d’une maturité magnifique, encore fermes mais suaves sous le palais, parfumées comme une belle en tenue de soirée. Après en avoir mangé «à la main», on s’est décidé d’en faire aussi une salade un peu relevée dont voici le mode d’emploi. Rien que d’en parler, j’en ai encore le goût dans la bouche…

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  • Place aux jeunes cuisiniers! (4): les poires pochées au vin rouge et caramel salé

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    Suite et fin de notre série de recettes tirées de Talent & Passion, le recueil des Jeunes Restaurateurs d'Europe, section suisse.

    Poires pochées au vin rouge et caramel salé, de Jean-Sébastien Ribette

    JRE_Ribette.jpgLe chef de l’Auberge de la Veveyse, à Saint-Légier, mélange des poires au vin, une glace au caramel salé et une mousse caramel pour un dessert très goûteux.

    Ingrédients

    Pour les poires:

    • 1 l de vin rouge
    • 250 g de sucre
    • ½ gousse de vanille
    • ½ bâton de cannelle
    • 4 poires type williams.

    Pour la glace:

    • ½ l de lait
    • 150 g de sucre
    • 4 jaunes d’œuf
    • 1 pincée de sel de Guérande.

    Pour la mousse:

    • 40 g de sucre
    • 6 dl de lait
    • 1 jaune d’œuf
    • 1 feuille de gélatine
    • 60 g de crème fouettée.

    Préparation

    1. Poires au vin: la veille, portez le vin à ébullition et flambez-le, ajoutez le sucre, la vanille, la cannelle et les poires pelées et évidées.
    2. Faites cuire les poires jusqu’à consistance souhaitée et laissez-les refroidir dans leur jus durant 24 heures.
    3. Glace au caramel salé: Confectionnez un caramel avec le sucre dans une casserole. Déglacez au lait en faisant attention aux projections. Incorporez le mélange aux jaunes d’œuf préalablement blanchis au fouet.
    4. Faites cuire à la nappe, comme une crème anglaise. Incorporez quelques grains de sel de Guérande et turbinez en sorbetière.
    5. Mousse caramel: Confectionnez un caramel avec le sucre dans une casserole. Déglacez au lait en faisant attention aux projections. Incorporez au jaune d’œuf préalablement blanchi au fouet.
    6. Faites cuire à la nappe, comme une crème anglaise. Incorporez la gélatine dans la crème chaude.
    7. Faites refroidir, puis incorporez la crème fouettée à froid, avec délicatesse.

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  • Pour le dessert, un bon diplomate à l'ancienne

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    215.jpgIl est plus que temps de revenir aux vraies valeurs. Respectons l'héritage de nos parent, de nos grands-parents et de tous nos ancêtres. Cet héritage qu'ils ont trimé pour nous le léguer! J'entends déjà les huées dans le fond de la classe. Doucement, je ne parle que des vraies valeurs gastronomiques. Pour le reste, soyons moderne.

    Vous avez déjà essayé le diplomate à l'ancienne? Un régal. Pour commencer, faites une crème pâtissière et une génoise (ce sont des recettes de base que vous trouverez partout, même sur les liens ci-dessus...).

    Puis mettez à tremper 2,5 feuilles de gélatine dans de l'eau froide. Faites tremper 100 g de fruits confits et 50 g de raisins sec dans un demi-déci de rhum. Montez 5 dl de crème en chantilly ferme. Essorez alors la gélatine et mettez-la dans une petite casserole avec 1 dl de rhum et faites tiédir pour la faire fondre. Mélangez ensuite cette gélatine à 1 dl de crème pâtissière, puis incorporez doucement la crème chantilly avec une spatule.

    Versez encore un demi-déci de rhum (hips!) et faites-y tremper rapidement 6 cubes (3 cm x 3 cm) de génoise et 3 gros macarons (non, pas ceux de Ladurée). Fouettez légèrement 1,5 dl de crème, ajoutez-y encore 1 dl de rhum (ça fait beaucoup de rhum en tout, mais c'est indispensable).

    Ouf. Ne reste qu'à mettre la crème pâtissière qui commence à prendre dans une poche à grosse douille. Vous nappez alors six grands verres à pied avec un tiers de la crème. Vous répartissez ensuite sur le dessus la moitiés des fruits confits, raisins et macarons émiettés et un cube de génoise par verre. Vous dressez un second tiers de crème pâtissière. Vous ajoutez le reste des fruits et macarons, une dernière couche de crème pâtissière et vous décorez de votre mélange crème fouettée et rhum. Laissez trois heures au frigo minimum.

    Franchement, c'est somptueux. Et, c0mme moi, vous remercierez les parents de mon ami Roland Pierroz qui lui ont appris tout ça.

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  • Une tarte Tatin à la rhubarbe, c'est génial!

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    tatinrhubarbe.jpgOn vous causait ici il n’y a pas longtemps de la rhubarbe, ce légume (si, si!) merveilleux, qui cache une si belle acidité sous une tige aux allures coriaces. Ce faux dur sait se montrer un vrai tendre dès qu’on le cuisine un peu. Comme dans cette merveille suggérée par une femme admirable l’autre jour. Il a fallu boutiquer un peu, essayer et affiner la recette, mais là voilà, toute fraîche sortie de nos laboratoires: la tarte Tatin à la rhubarbe. On l’a faite l’autre soir à des experts, qui ont fondu de bonheur. C’est dire si nous n’hésitons pas à soumettre nos créations à des panels exigeants…

    Ingrédients pour une tarte de 26 cm de diamètre

    • 800 g de rhubarbe
    • 200 g de sucre de canne
    • 40 g de beurre
    • 1 abaisse de pâte feuilletée
    • un peu de beurre pour la plaque.

    Préparation

    1. Pelez les tiges de rhubarbe puis coupez-les en tronçons de quelques centimètres. Mettez-les à dégorger dans une passoire avec 2 cuillerées à soupe de sucre deux heures à l’avance.
    2. Dans une belle poêle antiadhésive, mettez le beurre et le reste du sucre et placez sur feu vif pour obtenir un beau caramel. Quand il commence à colorer, versez la rhubarbe et tournez rapidement trois minutes.
    3. Versez cette rhubarbe caramélisée dans une plaque à gâteau beurrée et égalisez bien.
    4. Recouvrez de pâte feuilletée, en coupant l’excédent de pâte. Laissez de quoi faire un minibourrelet que vous rentrerez dans la plaque. Mettez au four préchauffé à 210 degrés pendant 25 minutes environ. Surveillez la cuisson.
    5. Sortez du four, laissez refroidir deux minutes puis renversez sur un plat de service et laissez refroidir.

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  • Plus proche, la fraise suisse arrive à point

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    fraises_12.jpg«Je n’aurais jamais pensé qu’elles démarreraient si vite.» Ce lundi, en parcourant ses plantations de Pomy, Rémy Vulliemin n’en revenait toujours pas. Surtout, il attendait avec impatience que la météo redevienne normale. «Elles souffrent», expliquait-il en parlant de ses fraises. Cueillir les premières avant l’Ascension, lui qui n’a que de la pleine terre, entendez une culture traditionnelle, sans tunnel ou hors sol, il n’avait jamais vu ça dans ce Nord vaudois où il cultive le fruit depuis une vingtaine d’années.

    Bien sûr, ses 50 ares représentent une bricole face à certains grands, comme Gérard Borboën, à Denges. Bien sûr, le climat de Pomy lui donne une semaine de retard par rapport aux producteurs de La Côte vaudoise. Mais Rémy Vulliemin ne produit que pour sa propre vente, que ce soit à la ferme ou aux marchés d’Yverdon et de la vallée de Joux. Il ne livre pas aux grands distributeurs et échappe ainsi à leurs exigences de calibrage et de conditionnement.

    Le problème, évidemment, c’est que les fraises suisses sont très en retard par rapport à celles qui proviennent des pays du Sud. «Je ne critique pas mes concurrents espagnols ou italiens. Je suis sûr que beaucoup font de leur mieux. Mais ils doivent sélectionner des variétés qui supporteront le transport et qui sont souvent moins goûteuses. Nos fraises, elles, respirent la fraîcheur, cueillies du jour, souvent.»

    Il peut ainsi se permettre de cultiver une ancienne variété, l’Elvira, au fruit tendre mais très parfumé, qui ne supporterait pas les péripéties de l’exportation. Chez lui, elle côtoie la précoce Cléry, l’Elsanta en forme de cœur, la puissante Mara des bois, la rustique Darselect ou la tardive Galia. Cette diversité permet d’allonger au maximum la période de production.

    Des grosses chaleurs comme celles du week-end passé fragilisent la plante et, surtout, rendent le fruit beaucoup plus fragile au moment de la cueillette qui se poursuivra jusqu’à mi-juillet. Avant, il y a eu la plantation. l’été dernier, quelques traitements qui doivent être terminés bien avant la récolte, la lutte contre les limaces, évidemment. Sur ce point-ci, que les jardiniers amateurs se rassurent: les pros n’ont pas d’armes secrètes, ils utilisent les mêmes granulés qu’eux. Des plastiques contre les mauvaises herbes, un peu de paille pour l’entretien des chemins, il n’y a pas une grosse différence avec les fraisiers de M. ou Mme Tout-le-monde, si ce n’est un arrosage goutte-à-goutte dans le sol.

    La main-d’œuvre (désherbage et cueillette) représente la plus grosse dépense de cette culture. Avec les tarifs nationaux, la fraise suisse, au final, coûtera un peu plus cher que l’importée. Mais quand on aime, on ne compte pas, non?

    Quelques trucs

    Les choisir: la couleur doit être franche, mais surtout le parfum doit être bon et puissant. La collerette doit légèrement se détacher du fruit.

    Les conserver: les fraises supportent mal la chaleur. Dès que vous les cueillez ou que vous les achetez, placez-les au réfrigérateur, dans la partie la moins froide pour deux jours au maximum. Elles ne supportent pas du tout la congélation et fort mal la stérilisation. Donc pas de conservation de longue durée, si ce n’est en coulis congelé ou en confiture.

    Les préparer: sortez-les du réfrigérateur au moins une demi-heure avant de les déguster car le froid anesthésie leur parfum. Lavez-les avec la queue, pour éviter qu’elles ne se gorgent d’eau.

    Les manger: selon la qualité de vos fraises, il n’y aura même pas besoin de sucre. De plus, la fraise est peu calorique pour un fruit (35  cal/100 g). Elle est riche en fibres (2%), ce qui la rend très digeste. C’est un des fruits les plus riches en vitamine C, qui contient également magnésium, calcium et fer.

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  • Un tiramisu à la rhubarbe

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    Je vous parlais l'autre jour de la rhubarbe. En voici une recette assez sympa.

    rhubarbe_20.jpgIngrédients pour six personnes

    • 750 g de rhubarbe
    • 150 g de sucre
    • le zeste d'un citron
    • 1 bâton de cannelle
    • 250 g de mascarpone
    • 2 jaunes d’œuf
    • 2 blancs d’œuf
    • 80 g de sucre
    • 16 pèlerines
    • 2 dl de jus d’orange.

    Préparation:

    1. Coupez la rhubarbe en dés, mélangez-la avec 150 g de sucre et le zeste de citron râpé.Laissez reposer une à deux  heures.
    2. Ajoutez-lui ensuite le bâton de cannelle, faites cuire le tout 15 minutes puis laissez refroidir.
    3. Montez les blancs d’œuf en neige ferme.
    4. Mélangez le mascarpone avec les 80 g de sucre, ajoutez les jaunes d’œuf et incorporez délicatement les blancs d’œuf montés en neige.
    5. Imbibez les pèlerines avec le jus d’orange.
    6. Disposez successivement les biscuits, la compote de rhubarbe et la crème de mascarpones, en couches, dans une moule en verre ou dans des coupes individuelles. Faites deux couches, en finissant par la crème au mascarpone.
    7. Laissez reposer deux heures au frigo. Servez en décorant de cacao en poudre.

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  • Le carac au chocolat, spécialité suisse à tomber

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    carac_DET.jpgLe nom, d’abord, est fascinant. Et son orthographe, hein, vous l’écrivez comment, «carac», «karak», «caraque»? Avec un nom pareil, on pourrait croire à une spécialité exotique, turque, quoi, par exemple. Eh ben, non! Elle est 100% suisse. On se perd en conjectures sur ce nom, qui pourrait venir d’un «cacao de qualité supérieure» produit dans les environs de Caracas.

    Ma belle-mère, qui n’a pas son pareil dans les pâtisseries régionales, les fait comme personne. Et je lui ai extorqué sa recette avant de chercher sur internet. Sur la Toile, les préparations étaient toutes plus compliquées. Alors j’ai fouillé le Patrimoine culinaire suisse, un truc sérieux, scientifique, et j’ai vu que belle-maman avait raison. Je vous l’ai dit: elle n’a pas de concurrents en pâtisserie.

    Ingrédients:

    • 15 fonds à tartelette du commerce
    • 300 g de chocolat noir 70%
    • 3,75 dl de crème
    • 200 g de sucre glace
    • quelques gouttes de colorant vert
    • 15 grains de café.

    Préparation:

    1. Faites fondre le chocolat, ajoutez-y la crème et faites chauffer. Retirez du feu et laissez légèrement refroidir avant de garnir les fonds de tartelette. Laissez prendre la masse au réfrigérateur.
    2. Mouillez légèrement le sucre glace de 3 cs d’eau, ajoutez le colorant et faites chauffer dans une casserole. Puis nappez-en les caracs. Décorez d’un grain de café. (On peut aussi faire un joli petit cercle de chocolat brun.)

    Les puristes auront fait leur fond avec une pâte sablée (380 g de farine, 250 g de beurre ramolli, 125 g de sucre, 1 cc de sucre vanillé mélangé, reposé, puis cuit à vide à 180 degrés une vingtaine de minutes). C’est vous qui voyez.

    D’autres mettent du beurre dans la ganache chocolat, ou du lait.

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  • Un fruit meringué, le pamplemousse par exemple

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    Il y a comme ça des desserts qu'on n'ose jamais faire tellement ils ont l'air difficiles et qui sont, en fait, tout simples. Peu de préparation, une cuisson éclair et, sur la table, une superbe allure.
    Essayez par exemple les pamplemousses meringués. Ça en jette et c'est bon, que demander de plus? Comptez pour quatre personnes 5 pamplemousses roses, 2 blancs d'œuf, 60 g de sucre glace, 2cs de confiture de framboise et quelques amandes.
    Des cinq pamplemousses, pelez-en trois à vif avec un bon couteau, avant d'enlever les petites peaux blanches qui entourent les quartiers. Les deux autres fruits, vous allez les découper en deux, non pas d'un coup de couteau mais en pratiquant de petites incisions en dents de scie, c'est plus joli. Videz-les de leur pulpe, que vous passerez au chinois pour récupérer le jus. Mélangez, au fouet, ce jus à la confiture de framboise.
    Dans vos quatre demi-fruits évidés, replacez les quartiers pelez que vous couperez en deux s'ils sont trop gros. Versez le jus par-dessus. Battez en neige ferme les blancs d'œuf et le sucre glace, que ovus déposerez ensuite sur les pamplemousses à l'aide d'une poche à douille crénelée. Saupoudrez cette future meringue d'encore un peu de sucre glace et nappez de quelques amandes avant de glisser au four chaud (220 degrés) pendant cinq minutes. Servez aussitôt.
    Franchement, c'est pas compliqué, non? Et, avec cette meringue doriée sur le fruit à peine chaud, c'est un régal.

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  • Des choux très très choux

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    choux.jpgVous êtes fans d’éclairs au moka, de profiteroles au chocolat, de chou à la crème? Moi aussi. Mais savez-vous qu’avec cette même pâte à chou, on peut faire mille choses, sucrées ou salées? La base est toujours la même, une pâte pas trop complexe, mais qui risque de vous demander quelques essais avant de la réussir à la perfection. Je vous la livre telle quelle ci-après…

    A partir de là, à vous de laisser jouer votre imagination. Pour un dessert, fourrez vos choux à la crème au chocolat avec une seringue, coupez-les en deux et insérez-y une boule de glace, farcissez-les d’un peu de confiture, c’est selon…

    Pour un apéro, mélangez un fromage frais avec des herbettes avant de farcir vos choux, préparez un tartare de saumon ou un hachis de tomates, mozzarella et basilic, c’est comme vous voulez…

    Ingrédients pour une quinzaine de choux:

    • 1 dl d’eau
    • 1,5 g de sel
    • 3 g de sucre
    • 30 g de beurre
    • 60 g de farine
    • 2 œufs battus.

    Préparation:

    1. Mettez l’eau, le sel, le sucre et le beurre dans une casserole, et faites bouillir le tout. Lorsque le mélange est parfaitement fondu, ajoutez la farine en une fois en remuant énergiquement avec une spatule. Puis laissez sur le feu en remuant pour dessécher la pâte deux minutes.
    2. Hors du feu, incorporez gentiment les œufs jusqu’à ce que la pâte ait tout absorbé. Elle doit être lisse et brillante, un peu molle et se détacher facilement.
    3. A l’aide d’une poche à douille ou d’une cuillère, dressez vos choux sur du papier sulfurisé. Pour un chou de taille moyenne, mettez à four chaud (220 degrés) pendant quinze minutes, baissez le four à 200 degrés et laissez encore quinze autres minutes.

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