C’est une histoire comme on les aime, celle d’un chasselas qui ne se prend pas pour un nectar question prix (8 fr. 50, c’est donné), et qui se retrouve au pinacle, parmi les six meilleurs de sa catégorie au Grand Prix du vin suisse.

J’ai une affection d’enfant pour la pistache, la vraie, pas le colorant verdâtre qu’on mettait dans les glaces. La pistache, en plus, se prête bien à la cuisine, comme nous le prouvent Jean-Paul Laillet et Louise Denisot, qui ont réalisé un petit album malin, Pure pistache (Ed. Albin Michel). Ils utilisent souvent de la pâte de pistache naturelle, qui se prête mieux aux mélanges et qui ne remonte pas. Voici un exemple avec ce moelleux chocolat cœur de pistache…

J’adore les compotes, sans doute une régression infantile, un souvenir sucré et moelleux, un sentiment de confort gustatif.

Et voici l’ère des confitures 2.0! La démarche initiée par Migros il y a six mois a le mérite de la nouveauté.

Les frères Jean-François et Frédéric sont aux commandes de Hegg et Fils, à Epesses. Le premier est plutôt côté vignes, près de 5 hectares entre Epesses pour la majorité, Dézaley et Calamin. Frédéric, lui, bichonne la cave où le chasselas est roi, même si 10% des vignes sont plantées en rouge.

Télévision, pages cuisine ou livres, la fille de l’actrice Nicole Courcel est partout. Portrait d’une charmeuse qui séduit en cuisine

Pas facile d’innover dans le domaine des concours de cuisine télévisuelle. La Télé a pourtant trouvé une idée inédite ailleurs: les candidats des Toqués du terroir devaient proposer une recette originale autour du saucisson vaudois et/ou de la saucisse aux choux.

Juste envie, comme ça, de faire un petit signe à ces Syriens qu’on a laissés dans l’oubli et l’horreur du fils Assad.

On peut toujours gloser sur les concours de vins et les différences qu’ils démontrent.

Les cinq classes vont fêter le goût comme beaucoup de leurs camarades suisses dès le 15 septembre, eux, ce sera en compagnie de Frédéric Simond, le chef des Deux Sapins

Alex Paccot distille «à façon» de magnifiques eaux-de-vie avec les fruits que lui amènent de nombreux particuliers

C’est un petit bouquin charmant qui propose, sous le titre explicite Petits plats au vin (Ed. Tana), de jolies déclinaisons toutes simples, de l’entrée au dessert, autour du divin breuvage. Parmi celles qui m’ont fait envie de consommer sans modération, cette papillote faite en deux temps un mouvement.

A Rivaz, Jean-Philippe et Guy-Louis Chappuis sont les deux fils d’Alexandre, et les dignes représentants d’une lignée qui a cultivé de la vigne autour de Rivaz depuis longtemps. Les deux fils ont repris l’exploitation en 1996, puis le Domaine de la Tour de Marsens en 2007.

Eric Pécquery pêche dans le Léman, depuis Lugrin, juste à côté d’Evian. Ses féras, il les vend au marché ou il les expédie jusqu’à Dubaï où un restaurateur français les lui réclame. Il a développé toute une transformation du produit de sa pêche, «toujours à taille humaine».

Le mythe de la crème d’alpage a survécu à l’industrialisation de la filière du lait. Reportage à Vuadens, dans une fromagerie artisanale.

J’adore les Saint-Jacques, pas vous? C’est dommage qu’elles soient si chères en Suisse. Autant, donc, leur réserver une préparation la plus simple possible pour éviter de les gâcher. J’ai bien aimé, par exemple, ces brochettes où les noix sont juste bardées de jambon de Parme.

Si la pub dit que le domaine des Rueyres, entre Chardonne et Saint-Saphorin date du XIe siècle, il faudra néanmoins attendre 1957. C’est à cette date que Michel Cossy décida d’arrêter de livrer tout le produit de ses 2 ha de vignes à la Cave Vevey-Montreux et de mettre en bouteille lui-même une partie de sa récolte.

Et voici encore quelques idées en vrac pour conserver vos fruits.

Les douceurs colorées made in USA séduisent les palais européens. Voici maintenant ces biscuits doubles, lointains cousins des macarons. Trois recettes.